quatrième version
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(...) Lui — lui tous ici le connaissent — c’est celui du club de foot — c’est celui du lycée et celui qui chante — une nuit il raconte — pendant la révolution il faisait son service militaire — c’était sur la côte — il dit c’était dur les amis morts — il dit ça les amis morts comme ça — sans précision et le regard là-bas — dans cette plaine tous ils le connaissent parce que le club de foot le lycée et puis les chanteurs du village — il passe à la télévision parfois ou bien il va chanter à l’étranger il s’occupe des jeunes il parle sans fin — une nuit — tard — il dit ça suffit — ça suffit peut-être cette plaine — c’est sans doute assez — cette plaine peut bien vivre sans moi il dit — c’est sans doute le moment de partir — encore plus tard et la même nuit il dit les gens oublient — la politique une fois une seule fois et puis ça sera fini — cette plaine peut bien vivre sans moi il répète. (...)
troisième version
Lui — lui tous ici le connaissent — c’est celui du club de foot — c’est celui du lycée et celui qui chante — une nuit il dit pendant la révolution il faisait son service militaire sur la côte — il dit c’était dur les amis morts — il dit les amis morts comme ça sans précision et le regard là-bas — dans cette plaine tous ils le connaissent parce que le club de foot le lycée et puis les chanteurs du village — il passe à la télévision parfois ou bien il va chanter à l’étranger il s’occupe des jeunes il parle sans fin — une nuit il dit ça suffit — ça suffit peut-être cette plaine — c’est sans doute assez — cette plaine peut bien vivre sans moi il dit — c’est sans doute le moment de partir — encore plus tard et la même nuit il dit les gens oublient — la politique une fois une seule fois et puis ça sera fini — cette plaine peut bien vivre sans moi il répète.
seconde version
Lui — lui tous ici le connaissent — c’est celui du club de foot — c’est celui du lycée et celui qui chante — une nuit il dit pendant la révolution il faisait son service militaire sur la côte — il dit c’était dur les amis morts sans précision et le regard là-bas — dans cette plaine tous ils le connaissent parce que le club de foot le lycée et puis les chanteurs du village — il passe à la télévision parfois ou bien il va chanter à l’étranger il s’occupe des jeunes il parle sans fin — une nuit il dit ça suffit — ça suffit peut-être cette plaine — c’est sans doute assez — cette plaine peut bien vivre sans moi il dit — c’est sans doute le moment de partir — encore plus tard et la même nuit il dit les gens oublient — la politique une fois une seule fois et puis ça sera fini — cette plaine peut bien vivre sans moi il répète.
première version
J. c’est celui que tous ici connaissent — il s’occupe du club de football et vit seul depuis des années — il enseigne au lycée et c’est celui qui chante — pendant la révolution il faisait son service militaire sur la côte — il dit c’était dur les amis morts il dit sans précision (avec le regard là-bas) — dans cette plaine tous ils le connaisssanet parce qu’au lycée il est partout parce qu’au club de foot aussi et puis dans le choeur vocal du village — il passe à la télévision parfois ou bien il va chanter à l’étranger il s’occupe des jeunes il parle sans fin — une nuit il dit ça suffit peut-être cette plaine — il dit c’est peut-être assez — cette plaine peut bien vivre sans moi il dit c’est sans doute le moment de partir — encore plus tard la même nuit il dit les gens oublient il dit — la politique une fois une seule fois et puis ça sera fini — cette plaine peut bien vivre sans moi il répète.