troisième version
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(...) Dans cette plaine quand l’été vient les jours s’arrêtent — au plus chaud c’est comme à l’hiver — les jours d’été ressemblent aux jours d’hiver — les bêtes on ne les entend plus — les chiens sont allongés qui semblent morts — rien ne bouge — il y a bien un type qui finit un verre d’eau-de-vie en regardant les branches immobiles de ses vignes — à côté sur la table en béton un œuf est écrasé — un cheval et ses sabots sur la terre au loin. (...)
seconde version
Dans cette plaine quand l’été vient les jours s’arrêtent — au plus chaud c’est comme à l’hiver — les jours d’été ressemble à l’hiver — les bêtes — on ne les entend plus les chiens sont allongés qui semblent morts — rien ne bouge — il y a bien un type qui finit un verre d’eau-de-vie en regardant les branches immobiles de ses vignes — à côté sur la table en béton un œuf est écrasé — un cheval ses sabots sur la terre au loin.
première version
Dans cette plaine quand l’été vient les jours s’arrêtent au plus chaud c’est comme à l’hiver les jours d’été ressemblent à l’hiver — les bêtes on ne les entend plus les chiens sont allongés qui semblent morts — rien ne bouge — il y a bien un type qui finit un verre d’eau-de-vie en regardant les branches immobiles de ses vignes — à côté sur la table en béton un œuf est écrasé.