journal permanent | 01 septembre 2012

Pour les besoins de mon nouveau travail je lis Romeo et Juliette — y’a pire comme métier — surtout quand c’est ensuite lire et relire une série de courts textes de Maupassant.

Travail — encore — puisque j’enseigne à nouveau (presque) — la question qui me ronge à chaque fois : comment faire en sorte (dans la multitude de compétences à mettre en mouvement) de montrer très exactement l’intérêt des trucs écrits qu’on leur propose — et surtout que cela reste panneaux — débuts de chemins — signaux de pistes.

Constat : je bosse 4h sur des préparations de cours et c’est fatigue — respirer c’est d’un coup pour D. a un endroit pour réparer les bagnoles.

C’est en vrac mais au matin s’être levé pour (à nouveau) bruits suspects dans la carlingue à 375 000 kilomètres — regarder le père usiner une pièce manquante (chaque visite à l’atelier appelle deux projets : faire 500 photos — environ deux de nos cartes mémoires — à travers les outils machines murs — puis écrire avec des photos) (il est sans doute trop tôt) — ou alors utiliser des 400 Tri-X (chercher la lumière dans l’atelier).

J’entre un nouveau mot-clé dans la base — "texte à écrire" — c’est déjà trop tard mais ça permettra de retrouver les idées notées.