journal permanent | 28 décembre 2013

Je fais à nouveau des rêves et je m’en souviens — s’être libérer d’un point d’une usure du crâne

Chez Karl Dubost les zimages sont devenues bleues – et on parle de vélo :

À Tokyo, je parcours les magasins de vélo. Le train, le bus, la marche, il ne manque plus que deux roues pour faire mon bonheur. Depuis trois jours, je cherche. Je n’ai pas encore trouvé l’objet de mon bonheur. Il y a quelque chose qui tient de l’amitié future, du voyage, de l’envie de découvrir ensemble, dans l’achat d’un vélo. Je ne me précipite pas, je sais que cela viendra. Peut-être cet après-midi.

C’est vrai – pour le projet vélo – c’est la même chose – on attend doucement – tranquillement – on cherche lentement – on pèse les idées les techniques – peu à peu même se dire qu’on pourrait trouver quelqu’un à qui faire confiance pour un montage complet — choisir les pièces — que l’objet corresponde exactement à la situation – au besoin.

Bricoler son vélo / écrire.