diafragm

Accueil > Carnets | SebMénard > journal permanent > journal permanent | 2012 > journal permanent | 16 octobre 2012

journal permanent | 16 octobre 2012

mardi 16 octobre 2012, par sebmenard

Le train prend douze minutes de retard et je ne vois rien sinon les textes d’Apprendre l’invention (les pistes — toutes gardées comme annotations dans la liseuse — une montagne).


Lu hier des morceaux de la génération poussière — je continue à affiner et et même à supprimer (le quatrième morceau — je ne sais plus quoi en faire — et je pense même le supprimer — et c’est parfois très surprenant :

pour le troisième morceau (une langue immonde) — j’ai supprimé des choses et ça ne tenait plus — puis j’ai relu la première version et j’ai trouvé ce qui — je pense — pour ce soir au moins — manque — et puis il y a cette histoire de pâte qu’on a sur la langue au soir et dont on se débarrasse comment — maintenant je sais : ce morceau-là ne devra plus vraiment bouger (mais pour la pâte sur la langue non).

Mais je m’arrête à la moitié (la fatigue) — je parle à AnCé t. des collages du Carnet des plaines et elle me dit j’ai presque fini — et ça me réjouit.


Envie de relire Fernando Pessoa : bureau de tabac.


Avant de dormir je lis un Tweet qui dit que le thon rouge et Mahmoud Darwich vont bien ensemble — et je suis d’accord.