Sur Twitter je lis cette phrase de Lucien Suel et ça me réjouit tout particulièrement :
#jardin planté 38 plants d’échalotes et 102 gousses d’ail blanc (hasard des nombres). À peine fini, la pluie. Triste printemps, triste pays.
— Lucien Suel (@LucienSuel) 13 avril 2013
pas pour la pluie ni le triste printemps non non — tout simplement pour le hashtag jardin accompagné des 38 plants d’échalotes et 102 gousses d’ail blanc.
Secrètement mon rêve c’est peut-être d’avoir un jardin et de faire des images moi aussi.
Une erreur en réécrivant un morceau de fantôme — un s qui s’ajoute et sans doute que c’est cela en fait— qui debout sur le vent du col de Borşa — qui debout sur les vents du col de Borşa — et puis je tape cette expression « debout sur le vent » dans Google car c’est certain ça vient d’ailleurs ce n’est pas ma langue vraiment — c’est le titre d’un livre d’Antoine Emaz — je laisse debout sur les vents.
Sur son site Guillaume Vissac dit que ce morceau lui fait penser aux peaux de bêtes — il faut que je l’écoute.