mais parfois le poème est une perceuse-visseuse 18 volts à renvoyer les angles et d’autres fois c’est le feu des passages, le feu des surgissements — et puis j’en reste à triturer cette matière (la parole) et sans ce triture-là, sans ce silence, SANS CE GROS SILENCE DE TRITURE — et parfois même je me sens comme ces vers qui ravagèrent ma première récolte de fèves, et parfois je pense au bruit de la manducation, leur trituration de fèves, de protéines, quand le silence du soir finissait par venir, envahir (...)
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