17 kilomètres de course à pied. À un moment, traverser un morceau de canal (un vieux canal), bâton en main (on ne voit pas le fond) (rivières d’ici, dont on ne voit pas le fond à quelques dizaines de centimètres) (je pense à quelles rivières lointaines alors ?) — puis reprendre la course.
Lecture : André Rougier et c’est passionnant et j’y retourne à plusieurs reprises.
Magnifiques serres, charpente en bois, caravanes, bus-maison, chez les producteurs de plants : aubergines, poivrons, sauge, basilic (...)
Accueil > Mots-clés > diafragm > Rougier André
Rougier André
Articles
-
journal permanent | 19 mai 2017
19 mai 2017, par sebmenard -
journal permanent | 6 octobre 2017
6 octobre 2017, par sebmenardêtre rare dans la languepar période
simplement parce qu’à d’autres moments : grand flux, grands souffles (rien ne dit qu’ils sont clairs, bons, acceptables, partageables, etc.)
« où gît l’interminable »
André Rougier, là
quelque chose quoi : les notes du jour mélangées avec celle du lendemain, de la veille ?
même Twitter pour le dire : « vous devriez être plus concis »
Arno Bertina dit (rencontre en librairie) que le livre peut continuer longtemps, il peut le reprendre longtemps encore, peut-être (...) -
journal permanent | 17 février 2018
17 février 2018, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
L’homme des bois des frères ReclusDans la forêt de RettéDernières paroles de Perceval, Merle
plus : Forêts : essai sur l’imaginaire occidental Robert Harrison
lire l’entretien d’André Rougier
des notes dans le carnet papier :
sur la route. fossés pleins. pluies longues et qui dure je crois depuis la nuit (souvenir étrange du son des gouttes sur le toit) — vu certains vallons, certaines formes généreuses de terre qui pourraient NOUS PLAIRE — mais ce que nous (...) -
journal permanent | 19 février 2018
19 février 2018, par sebmenardj’ai relu mon Bigadétache-toi de ton cadavre où toujoursrevenir relire recommencer je vais pouvoirpartir marcher tenir avancerdans la nuit
retenu en gare de *je pense aux Yekwanas
Jean Liedloff partie les voirÀ PLUSIEURS REPRISES constatantqu’effectivement
ILS TRAVAILLENT BIEN TOUTE LA JOURNÉEMAIS N’EN SAVENT RIEN
peut-être une erreurd’e-pokémone de petite créaturede petite bête de petite chose de petit trucnous n’avons pas peur des mots chose-truc cho-chosetru-truc là làune erreur de Grand Éveil de (...) -
journal permanent | 12 août 2015
12 août 2015, par sebmenard75km.
Tulcea — Sulina.
Cu vapor (en bateau).
Temps gris et humide – lourd – senti une goutte sur le pont supérieur – rien n’est tombé plus encore.
Dès le matin à regarder quelques séries d’images – faire ça bien – et en noir et blanc – que l’histoire existe comme ça – André Rougier dit que « La vie commence lorsqu'on se met à raconter des histoires ».
À Sulina nous entrons dans la ville en vélo – quelques rues – on cherche un endroit pour deux nuits sans doute – on cherche un peu de calme et pas cher – (...) -
journal permanent | 5 décembre 2017
5 décembre 2017, par sebmenardComment pensent les forêts : suite — ciel dans le gris de l’automne à l’ouest — dossier à remettre dans un peu moins de trois mois finalement.
« vers la forêt en marche s’en remettant aux sèches ornières »
« Nous qui savons désormais que le réel n’existe pas, mais qu’il dure, semblable à l’adieu monnayé à vil prix, lui qui tout rétrécit, les doigts posés sur la pierre illégitime, l’outrage trop aisément adéquat, l’aulne dru, tendu vers ces fumées, ces mimétismes de pacotille, signes précurseurs du bout de terre (...) -
journal permanent | 25 juin 2018
25 juin 2018, par sebmenardIl paraît que Césaire écrit, Un homme qui crie n’est pas un ours qui danse !
André Rougier écrit :
« Toutes raisons sont bonnes raisons pour boire et oublier le pourquoi des choses : l’araignée des débuts en haut des marches – le bleu qui rechigne à s’offrir – le sillon traîné comme par devoir – l’horloge des tours qui te fixent et t’allègent – les témoins collés à ces vitres, ces trous de serrure, ces lisières resserrées – les limaces d’aucun lieu, affamées à voix basse – les crêtes nouées à l’aiguille absente (...) -
journal permanent | 21 septembre 2017
21 septembre 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Est-ce qu’on ne serait pastoujoursen train de « parler à un moi futur ».
Zacusca !
Je suis un monstre des chemins + Tout au bout du chemin ?
Remué par lecture d’André Rougier (là), à propos de Notre désir de tendresse est infini -
journal permanent | 14 juin 2017
14 juin 2017, par sebmenardParis et Librairie Charybde. Et c’est la poussière de l’est qui me revient. Et c’est le son des cuivres lointains (à Paris ?). Très heureux de trouver sur place ceux qui sont sur place. Et même que je dis tout un tas de banalités et quelques trucs utiles (mais on pense quelque chose, et ensuite : est-ce qu’on peut toujours le dire ?) (mais on on pense quelque chose ici et maintenant, et qu’en est-il : ensuite, dans quelques jours, six mois après… ?) (mais c’est déjà ça). Et j’aimerais dire des trucs (...)
0 | 10