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dans les toilettesnous avons une carte postalede Thomas Vinau
c’est« la lettre de démission la plus courte du monde »
sur la photographieThomas Vinau(je crois bien le reconnaître)est assisde dossur une chaise posée dans l’eau
si bien quele premier nom de poèteque mon fils prononce(il a 18 mois)c’est Thomas Vinaucomplété de chaisel’eauet poème poème
(mon fils vient souvent dans les toilettes)(il répète aussi souvent deux foisle mot poème)
tout cela suffit (...)
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Vinau Thomas
Articles
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journal permanent | 22 août 2018
22 août 2018, par sebmenard -
journal permanent | 31 août 2012
31 août 2012, par sebmenardAncé t. a mis à jour la page d’accueil du site — liens directs vers les carnet web — le photo journal (pas mis à jour depuis le 21 juin 2012) (faudra revenir sur ce sujet) et son univers photo.
Un nouveau travail — la fatigue.
J’ai décidé il y a quelques jours de vendre/donner des livres papiers (comment faire si c’est des trucs numériques ?)(pareil ?) — et j’ai acheté hier un livre (en papier) de Thomas Vinau.
Chaque fois c’est pareil : constater l’immensité des choses à (...) -
journal permanent | 10 décembre 2016
10 décembre 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Matin sur le fleuve (cette phrase t’en souviens-tu : « j’suis à la voile, su’l’fleuve, avec une chtié’d’queniots » ?). À tenter d’enregistrer et photographier l’ami, son père. Des mots que je mets dans la boîte à sons. Froid. Gros froid parce qu’humide.
brume brume brumeet voix dans la brumemoteur dans la brumepoissons dans la brume
brume brume brumepieds dans bottes
su’l’fleuve
Route vers l’ouest pour écouter la voix de Thomas Vinau. Découvre le jour même Tone (...) -
journal permanent | 10 janvier 2017
10 janvier 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Le soir, souvent, je lis des petits textes de Thomas Vinau à voix haute et dans le presque-noir de la chambre. C’est comme ça.
Croisé un type à vélo tirant sa charrette-maison, un chien à côté, comme ça depuis six ans…
Le soir, souvent, je lis des petits textes de Thomas Vinau à voix haute et dans le presque noir de la chambre. C’est comme ça.
Retour de marché. Vélo. Sacoches. Croisé un type tirant sa charrette-maison, un chien à côté, comme ça depuis six ans. (...) -
journal permanent | 4 août 2017
4 août 2017, par sebmenardGris gris (qui fut levé tôt eut le temps d’apercevoir le ciel) et te voilà déjà à allumer le feu (nucléaire !) sous petite récolte de prunes offerte hier, à brancher une tablette numérique (terres rares !) sur sa prise de rechargement (nucléaire !) pour écouter un podcast : le récit (le récit !) d’une jeune famille vivant en yourte, expulsé d’un terrain lointain, victime d’un déchaînement de haine surprenant (mais un vieil homme sur la place du village répétait que ça ne le dérangeait pas !), ou encore à (...)
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Vinau, Thomas | 76 clochards célestes ou presque
12 février 2017, par sebmenardNicolas Bouvier(1929-1998)
Nicolas Bouvier est un écrivain un peu spécial. Il se sert de ses chaussures pour écrire. La rosée est son encre. Le vent tourne ses pages. Premier voyage à dix-sept ans. Nicolas Bouvier est un aventurier qui ne cherche rien. À devoir, comme tout le monde, mettre un jour devant l’autre, lui met ses pas dedans et il avance. Simplement. Nicolas Bouvier avance. Sur toutes les routes du monde. En Fiat ou en grolles. Et le chemin le rince. Et le chemin l’écrit. Nicolas (...) -
journal permanent | 5 décembre 2016
5 décembre 2016, par sebmenardJ’écoute Thomas Vinau parler de Brautigan. Le soleil est orange. J’écris peu. Tout doucement. J’ajoute quinze (quinze) mots à un fichier. Je pense au mot Tiznit. Ça fait comme ça : « arrivés à Tiznit, premier hôtel, première douche » (Tiznit est une ville au sud du Maroc). Place le mot sample où tu veux mon grand. Devenir une machine à sampler qu’on appellerait sampleuse. Pfiu.
Je recopie :
« Oui, je crois que si je n’écris pas c’est parce que je me tiens sur un terrain vague à ma manière, incapable de me (...) -
journal permanent | 2 novembre 2017
2 novembre 2017, par sebmenardBernard Friot, dans Le Monde diplomatique de nov. :
« Ce qui vaut, ce qui est considéré comme du travail dans l’espace infini des activités humaines, n’est rien d’autre qu’une convention décidée par les rapports sociaux. L’activité « conduire des enfants » à l’école n’a pas de valeur économique si les parents s’en chargent. Mais elle en acquiert une lorsqu’elle est confiée à une assistante maternelle. Il s’agit pourtant du même travail concret. Le discours capitaliste ne nie pas l’utilité des parents qui (...) -
Le dit de Konstantin
14 février 2018, par sebmenard“ Le lièvre est à la forêt. La douceur et la bestialité, la langue chaude de la mère, les babines retroussées du père sont à la forêt. La viande est à la forêt. Le flux et le reflux du sang, les muscles, les odeurs, les souffles sont à la forêt. Toutes les bêtes sont à la forêt. Ce qui grouille, ce qui fouille, ce qui bondit, ce qui se déploie, ce qui attaque, ce qui ronge, ce qui creuse, ce qui mord, ce qui broie est à la forêt. L’argent mort de la lune est à la forêt. La glaise, le vent, la brume et la (...)
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journal permanent | 23 avril 2017
23 avril 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
« (…) mais ce n’est pas le lieu pour des noms d’armes ici »
(Guillaume Vissac)
Soir d’élections. Pour l’instant, on peut encore lire des poèmes de Thomas Vinau.