Rasinari, Roumanie, photographie à l’EOS 5D, AnCé t.
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Et déclenchent parfois sans savoir un regard il est là qui sur la route vend de grosses pastèques
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villes
Articles
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28.08.2011
28 août 2011, par AnCé t. -
22.08.2011
22 août 2011, par AnCé t.Budapest, Hongrie, photographie à l’EOS 5D, AnCé t.
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Et traversent capitales européennes sans même parfois s’arrêter juste voir et déclencher -
la route | 34
15 juillet 2013, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
une nuit qu’ils roulaient peut-être à l’entrée d’une ville et lentement :
ce qu’ils cherchent dans les ombres et la nuit — personne pour le savoir et même eux — pas certain qu’on leur avait dit
au loin sur le bitume on distingue un chien — il marche vers quoi une station essence et ses néons blancs
ce qu’ils aiment par exemple : voir le reflet des feux rouges sur le bitume humide des pluies d’été
l’un d’entre eux dit :
on pourrait faire la liste des pluies (...) -
journal permanent | 14 février 2016
14 février 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Sofia.
Marche dans la ville.
Trouvé le monument.
Marché dans les rues.
Dans un rade.
Photographié une voiture rouge. Peut-être celle de ce récit qu’on entend parfois.
Le soir à discuter et quelques verres de rakija.
Lecture : Le tour de France des alternatives. Sur l’iPod. Faute de liseuse. -
Varna
24 novembre 2017, par sebmenard“ Nous passâmes toute la nuit sur les eaux noires comme le goudron. Le Turc ramait tranquillement d’un bout à l’autre du lac, on aurait dit qu’il voyait les contours de l’île. Il arrêta sa barque à l’aplomb du minaret, de la fabrique de cigares, au-dessus d’un caf’conc qui était fameux, au-dessus d’un grand café. À chaque fois je sondais du regard les eaux du lac. Je ne voyais que le visage d’un homme aux yeux noirs. Comme si j’avais été l’île, comme si, couché au fond, noyé sous les eaux, je m’étais vu (...)
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Calvino, Italo | Les villes invisibles
13 janvier 2017, par sebmenard« KUBLAI : Je me demande quand tu as pu visiter tous les pays que tu me décris. Il me semble à moi que tu n’as jamais bougé de ce jardin.
POLO : Tout ce que je vois, tout ce que je fais prend son sens dans un espace mental où règne le même calme qu’ici, la même pénombre, le même silence parcouru de bruissements de feuilles. Au moment où je me concentre pour réfléchir, je me retrouve toujours dans ce jardin, à cette heure-ci du soir, en ton auguste présence, quoique bien occupé, sans repos, à remonter un (...) -
matins dont tu te souviens, avec les fantômes | 1
10 février 2011, par sebmenardliste des matins dont tu te souviens - avec les fantômes
tu t’étais réveillé et la bagnole roulait lente dans les rues d’une ville de l’Est - tu t’étais réveillé et ça sentait la clope dans l’habitacle et le soleil à travers les vitres et ta tête qui tape tape contre le frais et les corps tous serrés dans l’habitacle
tu t’étais réveillé dans la tente à demi-montée et les sapins et gueule en vrac les corps nus sous l’eau froide d’une cascade - les types qui marchent autour le goût du café soluble
tu t’étais (...) -
C’était un matin il faisait chaud
23 mars 2011, par sebmenard**seconde version
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C’était un matin il faisait chaud et tu avais déjà manqué deux bus — les rues étaient vides et c’était vendredi — en arrivant au checkpoint les fusils les bagnoles militaires les types en treillis les caméras la chaleur et le vent chaud là qui soulève la poussière. **première version
c’était un matin il faisait chaud et tu avais déjà manqué deux bus (...) -
Le dialogue à rien qu’un seul qui parle
25 décembre 2010, par AnCé t.La vieille ville de Naplouse c’était un vendredi – on est arrivé en service après avoir traversé de grandes plaines – personne dans les rues à entendre les minarets seulement – dans une ruelle la tête passe à travers une porte – ce sont d’anciens termes il y a encore les squelettes des fontaines au centre – la pierre est belle - « you want to go inside ? There’re friend of mine » quatre hommes là – la face bien marquée par la vie, l’intifada même - « welcome my friend » fou comme une relation humaine peut (...)
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Le dit de Marina, le dit de Boris
21 novembre 2017, par sebmenard“ « Il est aujourd’hui plus facile d’imaginer la fin du monde — écrivait le philosophe américain Fredric Jameson — que celle du capitalisme ». On ne saurait mieux résumer le paradoxe de notre temps. Dans la mesure, en effet, où la logique du capital imprime désormais sa marque déshumanisante sur l’ensemble de la planète et sur presque toutes les sphères de l’existence — y compris les plus intimes — la conscience des effets les plus négatifs de la mondialisation libérale (précarité croissante de la vie (...)
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