Backs — Szolnok.
Combien de kilomètres en vélo — combien en train.
De la pluie (c’est pas vrai : jusqu’à 10h00 il ne pleut pas) (mais quand même — trempés).
Terminé la lecture d’Ali et Ramazan. Très puissant. Très fort. Langue surprenante. Ça fonce j’ai envie de dire. Mais avec plein de précautions. Le genre de truc ça te prend et tu files le livre parce que tu veux savoir (même si tu sais déjà). Le train lui roule lentement. Les gouttes sur les vitres. S’arrête dans les petites gares (c’est aussi un petit (...)
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publie.net
Articles
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journal permanent | 25 avril 2016
25 avril 2016, par sebmenard -
journal permanent | 19 avril 2017
19 avril 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Aujourd’hui, parution de Notre Est lointain et Notre désir de tendresse est infini.
Quitter les villes serait peut-être un récit fragmenté, et qui démarre avec des géolocalisations (par exemple des noms des latitudes longitudes) + des chants (cette voix, apparue dans Notre Est lointain).
des petits objets fabriqués à la main de l’autre côté de l’Atlantiquedes couteaux pliants
de la bière artisanale
du painces choses-là
(auxquelles ajouterpar (...) -
journal permanent | 12 mai 2013
12 mai 2013, par sebmenardGuillaume Vissac publie le journal de Coup de tête — je n’ai pas lu Coup de tête — le temps qui s’écoule entre le moment où j’achète un bouquin et le lit (ce qui se déroule pendant ce temps) — mais la publication de ce journal de création appelle fortement à la lecture — mais garder la surprise du texte — et cette phrase : En faire un personnage, évident, dans « Coup de tête ».
Repassé avec Chrome — j’avais problème de rapidité avec Firefox — et le temps qu’on passe à lire sur site.
Longtemps le soir (...) -
journal permanent | 23 juillet 2013
23 juillet 2013, par sebmenardEn ce qui concerne le métier que je pratique le plus régulièrement j’ai remarqué ceci : on peut se permettre de juger sa valeur — son efficacité — son rôle — sans être spécialiste dudit métier on peut — pour rire — en dire du mal mais c’est pour rire on n’a généralement aucune solution à apporter pour améliorer la situation ou bien pour rendre constructives les critiques prononcées
Je n’ai pas besoin de nommer ce métier pour analyser la situation : ce fonctionnement n’est pas normal. Coup de téléphone pour (...) -
journal permanent | 25 février 2013
25 février 2013, par sebmenardSur le site lieux dits les poèmes de Roger Lahu — portraits du poète en... — tenter de comprendre ce qui nous plaît là — ou bien non justement.
Journée dans le gris — acheté des dés — pour jouer aux dés — et inventer des jeux.
Gradubidus — qui commence tout juste sur Poezibao — et pas étonné d’apprendre que ce texte a été repéré par Jean-Pascal Dubost — et ça me fait penser — une fois de plus — que j’aimerais posséder tous les bouquins de Jean-Pascal Dubost (tout comme beaucoup d’autres) sur ma machine à lire. (...) -
journal permanent | 21 juillet 2013
21 juillet 2013, par sebmenardDans Coup de tête Guillaume Vissac évoque à de nombreuses reprises un paquet de madeleines industrielles — lors de ma lecture (c’est encore en cours — j’ai une lecture très lente de Coup de tête — indifféremment sur l’iPod ou la Kobo et même sur l’écran du Mac — donc il m’arrive de relire des passages car les trois machines ne se synchronisent pas) (pour cette fois ça ne me gêne pas mais j’aimerais avoir cette fonction) j’ai aussi noté ces madeleines — non plutôt le paquet de madeleines : je me souviens que (...)
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Daniel Bourrion : la langue souffle, La Petite fille dans sa robe claire
26 mai 2012, par sebmenardLe mystère est entier et le restera - c’est tout l’enjeu du dispositif : à partir d’une photo s’embarquer dans une coulée de la langue et jusqu’au dernier mot.
C’est un court ensemble de textes (sept exactement) et on y voit l’auteur avancer - c’est un long souffle - et pas possible de lutter contre :
J’y arrive doucement, j’arrive doucement à ma surprise, celle qui est à la source de ça que je fais là sans y pouvoir grand-chose (...)
La langue Bourrion creuse et s’étale - non - s’étire ou bien procède (...) -
Guillaume Vissac, fragmenter : Le Livre des peurs primaires
24 mai 2012, par sebmenardAttention : tous les extraits collés ici proviennent de la saison 1 du Livre des peurs primaires - le livre contient bien une saison 2 mais gardons la surprise.
2Comme ça commence2 Le début ne prend plus et l’ordre s’éparpille. Tous les récits du monde se défont : fêlures dans la charpente et parole craquelée sous les mots. Tous les textes isolés en paragraphes. Tous les paragraphes démantibulés, plongés ensemble dans une trieuse mécanique out of control. Paragraphes propulsés dans l’air et disséminés (...) -
Dominique Hasselmann | 140 tunnels et les mots
11 juin 2012, par sebmenardL’expérience : prendre le fichier et faire lecture aléatoire - se laisser aller longuement - réapparition de certains textes par moment (résonance des mots qui répètent - et la musique) - à essayer : on peut aussi parcourir le texte en sautant systématiquement le premier mot : tunnel - voir l’éclat de langue qu’on déclenche.
2Twitter la table d’écriture2
Extrait de la note de présentation de l’auteur :
Ce texte reproduit 140 messages envoyés sur Twitter http://twitter.com/dhasselmann, à raison de dix (...) -
Kuessipen | un monde, Naomi Fontaine
25 juillet 2012, par sebmenardNotes prises en lisant Kuessipen — Naomi Fontaine :
Nekuess — Uashat — Nutshimit — Nomade — ces mots — titres des différentes parties du livre — c’est le mystère et le champ des possibles à la fois — l’autre langue comme un monde.
**La vie la vraie
On la retrouve — la vie la vraie — c’est à travers un portrait par exemple et ça se creuse derrière/dedans les mots :
Il a le teint foncé de ceux qui ont abusé d’alcool, de ceux qui ont travaillé sous le soleil, de ceux qui ont vieilli.
Oui — cette façon du (...)