“Il faudra reconnaître un jour que ce qui manque le plus à nos villes, ce sont des “pensoirs”, silencieux et spacieux, de vastes endroits avec de hautes et longues galeries pour le mauvais temps et le grand soleil, où le bruit des voitures et les cris des marchands ne pénètrent pas et où le tact interdise même aux prêtres de prier à haute voix : des bâtiments et des promenades qui expriment par leur ensemble la sublimité de la méditation et de l’isolement. (…) C’est nous que doivent traduire la pierre et (...)
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