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Est-ce qu’on ne serait pastoujoursen train de « parler à un moi futur ».
Zacusca !
Je suis un monstre des chemins + Tout au bout du chemin ?
Remué par lecture d’André Rougier (là), à propos de Notre désir de tendresse est infini
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Rougier André
Articles
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journal permanent | 21 septembre 2017
21 septembre 2017, par sebmenard -
journal permanent | 27 septembre 2017
27 septembre 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Je fais des images pour les jours qui suivent, les jours qui passent, pour maintenant aussi. Je cherche des livres à la médiathèque. Et bientôt une autre bibliothèque sous la main. Peut-être l’idée d’une lecture à venir. Le journal permanent du jour est aussi dans un carnet, dans un carnet en papier. À la page 13 du requiem de Venaille, une note à prendre (je pense à André Rougier, je pense à Daniel Biga). Un texte, je note ça dans la pile. Attention : l’idée (...) -
journal permanent | 24 août 2023
24 août 2023, par sebmenard« En fait ma plus grande inquiétude dans ses parcours hors-circuits sont les autres humains, ceux qui ne comprendraient pas ma démarche. »https://www.la-grange.net/2023/03/03/suburb
lecture de journaux
Bergounioux, Vernet, Emazet d’autres, en ligneVissac, Sené, Rougier, Savelli
fragilité de mon espace en lignema maîtrise technique est faible
le site inaccessible, introuvable
je repêche la baseje réinstalle une vieille version de Spipje fais rentrer à la main les imagesavant de trouver comment en (...) -
journal permanent | 19 mai 2017
19 mai 2017, par sebmenard17 kilomètres de course à pied. À un moment, traverser un morceau de canal (un vieux canal), bâton en main (on ne voit pas le fond) (rivières d’ici, dont on ne voit pas le fond à quelques dizaines de centimètres) (je pense à quelles rivières lointaines alors ?) — puis reprendre la course.
Lecture : André Rougier et c’est passionnant et j’y retourne à plusieurs reprises.
Magnifiques serres, charpente en bois, caravanes, bus-maison, chez les producteurs de plants : aubergines, poivrons, sauge, basilic (...) -
journal permanent | 21 juin 2014
21 juin 2014, par sebmenardDépart pour Paris – levé tôt le matin – aime assez marcher dans les rues vides d’une ville (on laisse dans le couloir de l’immeuble nos hôtes à charger leurs bécanes).
Visite et discussion longue à Rando-Cycles – ça avance.
Dormir/siester dans un parc lorsqu’il fait chaud – un jour à Bucarest – quand était-ce – peut-être le dimanche 1er juillet 2012 – souvenir de s’être endormi profondément sur un banc entre la chaleur et les bruits de la ville – aujourd’hui c’est la même chose.
Le soir : lire voix haute à la (...) -
journal permanent | 12 août 2015
12 août 2015, par sebmenard75km.
Tulcea — Sulina.
Cu vapor (en bateau).
Temps gris et humide – lourd – senti une goutte sur le pont supérieur – rien n’est tombé plus encore.
Dès le matin à regarder quelques séries d’images – faire ça bien – et en noir et blanc – que l’histoire existe comme ça – André Rougier dit que « La vie commence lorsqu'on se met à raconter des histoires ».
À Sulina nous entrons dans la ville en vélo – quelques rues – on cherche un endroit pour deux nuits sans doute – on cherche un peu de calme et pas cher – (...) -
journal permanent | 28 décembre 2017
28 décembre 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
« seules les bêtes poursuivront leur marche, elles qui connaissent nos noms, nos empreintes, nos lézardes et nos infamies »
(André Rougier, en son blog)
où es-tu Garrigon ?
les nuits dehors, le goût du froid, l’attente du jour, le refuge quotidien, les voix dans le noir, les flammes et la poussière, la boue et les braises, la forme d’une colline, le son d’une rivière, l’attente du repas, la brume des silencese
Ai commencé un morceau de truc sur des (...) -
journal permanent | 27 janvier 2018
27 janvier 2018, par sebmenardJ’ai récrit tout beau tout bien mon beau dossier que je dis. (Les cailloux qu’on se donne, ceux sur lesquels on tombe. Les collines qu’on dessine, celles contre lesquelles on butte…) Et puis nous sommes des passants labyrinthés, des passes-murailles empoussiérés, des voyageurs interdimensionnels (Guillaume Vissac) —
j’écoute Anouar Brahem
un live à Coutances vieux d’il y a quelques années
je pense à A.
A. disait qu’Anouar Brahem joue dans le poétiqueque c’est la même chose
que c’est tout à fait ça (...) -
journal permanent | 26 septembre 2017
26 septembre 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Fabrication d’objets, de proésie, brouhèmes dit Dubost je crois, faire, faire quoi, tout se mélange, et la poursuite d’une hypothétique langue poétique ne serait-elle pas une fiction ?
Lisant Borges — reparcourir certains articles du blog d’André Rougier. Je recopie ça :
« Tout homme est, à chaque instant, ce qu’il fut et sera, c’est pourquoi ta vie n’existe pas, ni même une seule de tes nuits ; tous les instants par toi vécus sont là, pas leur inconcevable (...) -
journal permanent | 5 décembre 2017
5 décembre 2017, par sebmenardComment pensent les forêts : suite — ciel dans le gris de l’automne à l’ouest — dossier à remettre dans un peu moins de trois mois finalement.
« vers la forêt en marche s’en remettant aux sèches ornières »
« Nous qui savons désormais que le réel n’existe pas, mais qu’il dure, semblable à l’adieu monnayé à vil prix, lui qui tout rétrécit, les doigts posés sur la pierre illégitime, l’outrage trop aisément adéquat, l’aulne dru, tendu vers ces fumées, ces mimétismes de pacotille, signes précurseurs du bout de terre (...)
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