Cet été, des textes sur deux disques… !
Dans Gare maritime, anthologie écrite et sonore de poésie contemporaine publiée par La Maison de la poésie de Nantes, Guillaume Vissac donne un portrait et je lis quelques extraits de Soleil gasoil (enregistré en février 2018, au Lieu Unique à Nantes, lors d’une lecture-projection). C’est une anthologie, on est plein dedans…
Sébastien Boisseau a réuni dans un coffret intitulé La musique de salon, un salon deux langues, quelques extraits de notre performance du 30 (...)
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voix haute
Articles
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Sur deux disques : Musique de salon & Gare maritime
22 juillet 2019, par sebmenard -
journal permanent | 13 mai 2017
13 mai 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Sortie de Temps 0 à La Marge. Avec A. on tente un truc voix haute / guitare électrique. Très heureux de ceux qui sont venus. Même Z. est là. L’enregistrement est imparfait, déséquilibré, crade, etc. Mais le moment, la performance (je dis ce mot), est un bon dialogue. Bonnes sensations. Bon échange. Et puis cette extraordinaire discussion que nous avons sur la route ensuite. Probablement que tout ce bazar vaut la peine pour cette discussion apparue (non : surgie (...) -
Gratture parlée | 11 juillet 2020 à Angers
4 juillet 2020, par sebmenardLa prochaine gratture parlée se déroulera à 16h le 11 juillet, dans le Cloître Toussaint à Angers, à l’invitation de la médiathèque. Voix : Sébastien Ménard. Oud : Antoine Leroy. Entrée libre. D’ici là, nous poursuivons notre pratique sauvage, à vite.
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journal permanent | 19 juin 2018
19 juin 2018, par sebmenardhttp://www.diafragm.net/spip/spip.p...
je remonte le fil de l’ours et supprimesa numérotation
hier au soir, le noter aujourd’hui, la piste pour cette vidéo avec A. :
deux plans fixes bouche & main peut-êtreou alors pied (je crois qu’A.tape toujours le rythmeavec son pied)
et qui alternent donc
(mais là, il est question d’un sonbien calé)
(alors qu’en pensant à d’autres chosesgenre marche dans le bois là-haut
errance
c’est différent)
« tu dis vraiment n’importe quoi (...) -
journal permanent | 22 juillet 2018
22 juillet 2018, par sebmenardhttp://www.diafragm.net/spip/spip.p...
Danube Rapshodie
c’est bien l’idée de se donner du couragec’est de ça qu’on cause
qui arrive tout petittout petittout petit tout petitet qui trouve femmefemme et enfant bientôtmais arrivé tout petittout petit depuis longtempslongtempset ne peut pas sortir ne peut pasimaginer sortir -
Gratture parlée "à l’air libre" | 25 juillet 2020
18 juillet 2020, par sebmenardNous serons, Antoine Leroy et moi-même, dans la forêt du « Repos sauvage », le samedi 25 juillet à partir de 20h30 pour une gratture-parlée « à l’air libre » et en partage avec la conteuse Dominique Peyre. Il y aura des ours, de l’oud et quelque chose que je rends à la terre. Ou alors, ce sera autre chose, car il faut savoir être dans l’instant.
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journal permanent | 23 janvier 2015
23 janvier 2015, par sebmenardLe 23 janvier 2015 je passe les fichiers du journal permanent dans la base de textes d’Ulysses.
Pendant la course à pied je retiens : Un chien dépèce son corbeau entre deux bagnoles.
Joachim Sené a mis en ligne une série de notes que je relis plusieurs fois – voudrais citer beaucoup – je garde ceci :
Certains mots dans les discours sont soigneusement évités. Peut-être parce qu’il n’y a pas de misère en France, ni en Europe. La fin de l’austérité n’est pas annoncée. Les écoles n’auront rien de plus. La (...) -
journal permanent | 19 juin 2014
19 juin 2014, par sebmenardJournée de travail riche d’une intensité forte – beaucoup d’échanges et la parole assez tranquille – je crois qu’ils ont un espace pour s’exprimer – je crois qu’on essaie de le faire – je crois que ça marche – un peu – je crois que ça va.
Flotte : toujours aimé nager dans les eaux d’un lac d’un rivière – l’odeur de la flotte peut-être sa fraicheur – il y a quelque chose une liberté.
Le soir on attend des inconnus pour venir dormir là avec leurs bécanes ils arrivent dans la nuit c’est étrange – inattendu + le (...) -
Blocs | 122
27 septembre 2019, par sebmenardécrit pour le contrebassiste Sébastien Boisseau
Et si tout poème est un balbutiement, alors nous balbutions ensemble — et c’est comme à cette énergie de bête qu’il faut savoir aller puiser ou s’abreuver, et se renifler, et se tapir, et se blottir, et surgir, et se sentir, et s’observer, et se frotter, et se terrer, et haleter, et courir — courir comme les bêtes savent courir pendant des heures et à travers les nuits, exaltées — courir dans un cri silencieux et ceci avec tout le corps là, avec tout le (...) -
journal permanent | 25 avril 2015
25 avril 2015, par sebmenard(marché
route retour
parler combien de fois de penser de prêt de liberté (sait-on le nom des choses)
cartonnage)
Ce qui donne :
Au matin on va entre les stands d’un marché – on cherche des trucs naturels – les trucs le plus naturels possible en fait – à la terrasse d’un café de Rouen pour discuter de dernières petites choses – attendre.
Sur la route du retour parler combien de fois du penser de prêt de liberté – sait-on au moins le nom des choses – l’un d’entre nous avoue qu’il organisait une (...)