La plaine que j’habite - faudrait tout reprendre sans fin - je réécris le conte qui était pour la nuit précédente - ajoute des liens - la chaleur est chaque jour un peu plus - le soleil sur la peau dans le matin d’accord et l’après-midi nos corps s’usent et déjà que là (analyse en cours : nos nerfs usés de s’être battus dix mois presque - mais tout de même constater le chemin fait - les plaines parcourus - l’agrandissement de nos mondes intérieurs). Que les chiens aboient la nuit et nos corps encore chaud (...)
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