Une image en dit-elle plus que le journal permanent (c’est à propos de ceci : mettre en ligne une image de mon propre bureau) — c’est revenir aux questions d’opacité et au journal — période qui questionne très largement — se concentrer dans écrire — écrire. La dernière consigne de l’atelier Un été pour écrire m’a fait penser à l’Arthur Maçon de Joachim Séné — sans doute que c’est l’évocation d’un personnage en quelque sorte atemporel — est-ce que c’est vraiment le cas d’Arthur Maçon — et puis ce n’était pas (...)
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ateliers d’écriture
Articles
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journal permanent | 11 juillet 2013
11 juillet 2013, par sebmenard -
journal permanent | 14 novembre 2017
14 novembre 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Atelier au lycée. Trajet, images. Cette claque quand tu lis, puis entends ce texte (« c’est juste une balade, une randonnée quoi, mais c’était beau »), on croirait un rêve, on croirait du fantastique (mais elle le répète : « c’est juste une randonnée »)…
Longue discussion avec Anatole Danto. Liens écriture et recherche, arts et sciences. Où ai-je mis ce petit carnet avec mes notes dedans ?
oiseaux blancsdans le (...) -
journal permanent | 13 mai 2018
13 mai 2018, par sebmenardhttp://www.diafragm.net/spip/spip.p...
il s’agira de lire le début de la page 133 du Camp des autres de Thomas Vinauet de laisser retomber le son de l’ânedans le silence de la pièce
il s’agira de parler de Bleiz le loup (Jean-Pascal Dubost)
il s’agira d’évoquerla poursuite d’un animaltotem
et puis de parler du dehors,
de penser à un lieu
ensuite, on ira repérer, prendre en note des coordonnées (on parlera d’Hodasava)
et ça « surgira (...) -
journal permanent | 8 juillet 2018
8 juillet 2018, par sebmenardhttp://www.diafragm.net/spip/spip.p...
les sons de Félix Blume
(et se retrouver avec cette noteici) -
journal permanent | 17 mai 2018
17 mai 2018, par sebmenardhttp://www.diafragm.net/spip/spip.p...
j’écris dans les trains, dans les tramj’écris aux abords des garessur des parkings périphériquesà l’entrée des piscines municipales
j’écris dans l’ombre d’un plataneau pied d’un immeubledans la salle surchauffée d’un préfabriqué
la proposition d’écriture, qui ne marche qu’à la toute fin… ! -
journal permanent | 3 mars 2018
3 mars 2018, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
des échalottes, des oignons, des aulx, des fèveset on me dit que les pois, c’est possible(je pense à la hache)
trouvé un début de texte pour cette commande
et puis l’idée du Yukon (parce qu’une vidéo)
(je pense au prix de la hache)(et qu’il faudrait plutôtsavoir construire la hache !)
autre info DE TOUTE PREMIÈRE IMPORTANCE : le nom des haricots c’est midnight black turtle
« depuis 15 ans ce qu’on a à changer c’est combien de jeunes auteurs vivent leurs (...) -
journal permanent | 14 juillet 2013
14 juillet 2013, par sebmenardPour écrire — parce que l’atelier éclate en même temps que un récit — d’ailleurs ce n’est pas cela — qu’importe : donc je prendrai chaque proposition et je l’épuiserai (c’est sans doute impossible) — et puis écrire ce qui était prévu ici — ensuite on verra — mais c’est un vrac difficilement contrôlable.
Faire le tri faire le clair — prendre le temps. -
journal permanent | 22 mai 2018
22 mai 2018, par sebmenardhttp://www.diafragm.net/spip/spip.p...
ce que je veux arriver à direc’est un truc oùle surgissement d’un semi-remorqueserait la manifestation d’une force lointaineprofonde
quelque chose comme ça
(je pense aussiaux traces laissées par le feusur la terre)
(en lisant Eleni Sikelianos)
Relisant redécouvrant un texte écrit lors d’un atelierpar un jeuneoù il est question de son « cheminvers le bonheur »à 12 ans !!!
je prends noteplein d’humilitémoderne
(stationsdu cheminetc.)
Pour la lecture de (...) -
journal permanent | 30 avril 2018
30 avril 2018, par sebmenardPréparation d’un atelier pour les réfugiés. Relire Cadiot :
« Espéranto
Des gens traversent la mer à cinquante dans un zodiac. On va les faire parler. On va les représenter. Des acteurs jouent les récits des survivants. Quelques fois, ils le font à la première personne et réussissent à transmettre une partie de la douleur. C’est souvent très proche heureusement. Quelque fois trop, trop profond, pas assez en surface. On s’enfonce dans l’Humain comme dans une caverne. Ça défigure. Il n’y a plus personne. (...)