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Alors on prend la bagnole dans la nuit
mercredi 16 mai 2012, par
2troisième version2
Après on prend la bagnole dans la nuit et on roule avec une bouteille d’eau — la route c’est un bitume pas trop mal pour l’endroit et les phares rouges devant — on cherche un bled on voit rien et file plein Est — le compteur passe les 367 000 kilomètres en silence et dans une odeur de sueur sèche — à droite plein Sud on sait bien que c’est là les Carpates mais on n’y voit rien — on imagine une masse — on finit par arriver sur une ville on tourne avant et à l’entrée d’un champs on coupe le moteur on entrouvre les vitres et on s’allonge comme ça — sur les sièges arrière.
2seconde version2
Après on prend la bagnole dans la nuit et on roule avec une bouteille d’eau - la route c’est un bitume pas trop mal pour l’endroit et les phares rouges devant - on cherche un bled on voit rien et file plein Est - le compteur passe les 367 000 kilomètres en silence et dans une odeur de sueur sèche - à droite plein Sud on sait bien que c’est là les Carpathes mais on y voit rien - on imagine une masse - on finit par arriver sur une ville on tourne avant et à l’entrée d’un champs on coupe le moteur on entrouvre les vitres et on s’allonge comme ça - sur les sièges arrières.
2première version2
Après on prend la bagnole dans la nuit et on roule avec une bouteille d’eau - la route c’est un bitume pas trop mal pour l’endroit et les phares rouges des types devant - on cherche un bled on voit rien et ça file plein Est - le compteur passe les 367 000 kilomètres en silence et dans une odeur de sueur sèche - à droite plein Sud on sait bien qu’ils sont là les Carpates mais on y voit rien (la masse qu’on imagine) - on finit par arriver sur une ville on tourne avant et à l’entrée d’un champs on coupe le moteur on entrouvre les vitres et on s’allonge sur les sièges arrières.