Je pense arriver à la fin de la série Acolo : bien senti ces derniers jours — faire une relecture de l’ensemble tout de suite puis laisser reposer un peu : relire épuise (voir Journal de Coup de tête chez Guillaume Vissac) — difficile de tenir concentration longue — d’autant que je commence par ajouter des mots (ce qui n’est pas toujours bon signe) (ce qui n’est jamais bon signe). Dans le train du retour du vendredi soir (c’est le train le plus chargé et c’est aussi le plus petit) — je mets le casque (...)
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journal permanent | 2013-10
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journal permanent | 4 octobre 2013
4 octobre 2013, par sebmenard -
journal permanent | 3 octobre 2013
3 octobre 2013, par sebmenardUn équilibre en réalité c’est cela : ce serait par exemple (combien de fois l’ai-je dit) la moitié du temps dans la terre l’autre moitié avec les images et les mots — et certain que ça se mélangerait parfaitement. Une des doubles images de la série Contre chez Philippe De Jonckheere évoque le verrou imposé par la "Sécurité" de la "Très Grande Entreprise" sur le web — j’ai déjà pareil sentiment quand on me dit sur mon lieu de travail qu’il m’est impossible de connecter mon ordinateur personnel au réseau (on ne (...)
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journal permanent | 2 octobre 2013
2 octobre 2013, par sebmenardLa possibilité d’une rêverie : c’est le matin par exemple savoir que le travail peut attendre — qu’on décidera du moment où — que ça sera beaucoup mieux comme ça — c’est l’odeur du café avec et la couleur du ciel — c’est sentir le corps vraiment prêt alors pour vivre et penser. Chaque jour ou presque : écrire — ce qui n’a aucun sens effectivement — mais c’est un vertige qui me suffit — tout de même ceci : s’organiser bien tranquillement pour avoir de moins en moins besoin des tunes (c’était magnifique quand elle (...)
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journal permanent | 1er octobre 2013
1er octobre 2013, par sebmenardOn se lève tôt on boit du café en lisant des articles en ligne on tweet une fois deux fois on pédale dans la nuit on est secoué dans le train — on bosse on s’use on crache on gueule on cause on cause — on écrit un peu on a chaud on sue on court on craint on ne sait pas vraiment quoi on continue quand même — le soir on fait des chèques et on parie sur le temps d’encaissement pour éviter le découvert on attend une paye on vide un verre on caresse on rit un peu encore on parle on parle on se sert on (...)