« (…) mais nous avons déjà vu jusqu’o peut aller la technologie. Ce qui devient intéressant maintenant, c’est l’effort de comprendre le système nerveux humain, la conscience, les possibilités visionnaires de la conscience, qui n’exigent aucunement un apport important d’énergie. Il s’agit donc d’abandonner une conception grossièrement matérialiste de la croissance et du développement en faveur d’une conception plus spirituelle et plus esthétique. (…) Et voilà que l’on retrouver la pratique enjouée du Zen, (...)
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