La nuit comme une fournée (mais qui dure cinq minutes) après Prélude à l’agonie de Sophie Perez et Xavier Boussiron – à nouveau une claque et une boule d’énergie ce spectacle – et qui dérange.
Il faut que je me procure ces contes transylvains collectés par Franz Obert : le Zmeu Dupé – longtemps la porte d’entrée dans le conte est restée vide et inerte – plutôt bloquée en quelque sorte – ça s’est peut-être débloqué en reprenant Maupassant l’année dernière – et puis ensuite tout est possible – rencontré à (...)
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Rabhi Pierre
Articles
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journal permanent | 19 décembre 2013
19 décembre 2013, par sebmenard -
journal permanent | 16 décembre 2012
16 décembre 2012, par sebmenardQu’est-ce que je fais lorsque je me reconnecte — entre autres choses — regarder les images et les mots de Philippe de Jonckheere — je ne sais pas pourquoi j’ai cette assiduité à suivre les images de camions et de routes du site Van Life — ou bien la suite d’images de Pierre Ménard — il y a les mots de Daniel Bourrion — le journal de Guillaume Vissac — des choses mises en ligne sur le site de Karl Dubost — ce que j’ai manqué chez François Bon — un oloé chez Brigetoun. Hier entre deux villes à l’arrière (...)
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journal permanent | 2 juin 2013
2 juin 2013, par sebmenardAu nom de la terre — Pierre Rabhi : sans doute qu’il n’y a pas de doute — sans doute que c’est cela — que c’est là qu’il faut aller — dans cette direction-là — vivre et les semences — que ça se poursuive ainsi — sans doute même que c’est le projet de recherche à venir — que c’est lié — que l’un n’ira pas sans l’autre — des légumes des mots et des images.
Je pense qu’il faut faire ce tour d’un continent des connaissances et des tentatives et ensuite tenter.
Je crois avoir dit ça : que le voyage la route — ça fait (...) -
journal permanent | 26 décembre 2012
26 décembre 2012, par sebmenardÉcrire un mail à A. . Fini une relecture de Cuisine. Réunir — lentement et au fil du temps — pages lues et pages particulières — en faire une base de données pour archéologie personnelle — lieux pour y revenir.
Il y a aussi cette série de mots-clés qu’il faut ajouter. Je finis aussi dans la nuit ce bouquin de Pierre Rabhi commencé il y a quelques semaines maintenant — il était resté ouvert à côté du lit — choses dites qui n’étaient jusqu’alors qu’intuition :
"Dans notre monde globalisé, chaque acte est un (...) -
journal permanent | 17 décembre 2012
17 décembre 2012, par sebmenardHier dans la nuit tombée je regarde des webcams dans différentes villes d’Europe — je regarde la nuit dans différentes villes d’Europe — je fais ça souvent — je regarde les villes — les neiges. Vendredi j’avais commencé un truc avec une salle blanche — c’était surtout le bruit d’un néon dans une salle — j’étais seul — et puis il y avait eu ce moment des pluies contre la vitre — je l’avais écrit comme ça dans le journal permanent et c’est comme ça désormais en ligne — je ne sais pas quoi penser de cela — c’est (...)
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journal permanent | 10 novembre 2014
10 novembre 2014, par sebmenardLes vrais besoins ont une limite naturelle : nourriture, vêtements, abris, soin. Le superflu, lui, n’a pas de limites. Il est la cause principale de l’hyper-consommation qui ruine notre planète et empêche que les besoins élémentaires de l’humanité soient équitablement satisfaits.
Pierre Rabhi, La part du colibri.
Partir sur la route : le lieu où l’on pense. -
journal permanent | 12 septembre 2014
12 septembre 2014, par sebmenardJ’ai le temps – je ne travaille pas – cet arrêt-là – une liberté en fait – mon vieux pote l’autre jour disait les esprits malades et il parlait admiratif de ceux qui font un pas de côté – mais donc – ça avance lentement ça vient doucement ce truc-là – il faudra s’organiser mais c’est possible tout à fait possible et magnifique (laisse tes italiques de côté).
Voir : Pierre Sansot – Du bon usage de la lenteur et Pierre Rabhi Les Défricheurs – mais ce problème : je voudrais toujours tout trouver dans ma machine à (...) -
journal permanent | 9 novembre 2014
9 novembre 2014, par sebmenardTrois choses pourtant côte à côté :
Parfois – j’aimerais un autre écran là à côté – pour laisser le Désordre ouvert en permanence.
et
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés et attirés observaient, impuissants, le désastre. Seul le petit colibri s’active, allant chercher quelques gouttes d’eau dans son bec pour la jeter sur le feu. Au bout d’un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoire, lui dit :
“Colibri ! Tu n’es pas fou ? Tu crois que (...)