Travail : quelle qualité de travail pour l’employé qui entend la pression – pour celui qui reste à évoluer dans le non-dit – notre besoin de réinventer le monde est infini (bis) – notre besoin de la douceur de l’échange est sans limite (cela c’est le début d’un morceau des 14 Tracks Extended Play) (qui n’a peut-être rien à voir).
Écouter Tarkos – je voudrais absolument Tarkos en numérique – je voudrais pouvoir l’emporter partout.
Le soir fromage et discussion lente avec F. la vie les légumes etc.
En (...)
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Karl Dubost
Articles
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journal permanent | 13 novembre 2014
13 novembre 2014, par sebmenard -
journal permanent | 21 novembre 2013
21 novembre 2013, par sebmenardQuasiment rien noté du jour — a filé très vite — sinon que la Loire était magnifique et beaucoup pensé à la suite : faire l’équilibre entre le départ à nouveau et le temps qu’on prend pour accumuler des tunes — ou bien des moyens d’en avoir — en fait c’est comme si avoir passé un an comme ça loin (et tout claqué en cours de route) ça devrait pouvoir recommencer quand on veut (en fait c’est pas si simple) — on s’organise — doucement.
Sinon le trajet en train n’est toujours pas assez long comparé au temps de (...) -
journal permanent | 6 mai 2014
6 mai 2014, par sebmenardKarl Dubost :
Par la vente de nos données personnelles, nous acceptons de nous transformer en bien de consommation. Ainsi nous soumettons notre propre existence aux lois du marché. Notre valeur dépend alors de l’intérêt que nous représentons pour ces compagnies. Le profit réalisé par la vente du flux de nos activités sera fortement dépendant du détail et de la qualité des données que nous partageons. Puisque nous sommes produits, nous transformons notre existence comme un produit à améliorer. Nous (...) -
journal permanent | 4 septembre 2014
4 septembre 2014, par sebmenardJe note : écrire un disque tribal – je pense que c’est la relecture de certains textes pour les carnets qui me fait aller vers cette pente – mais sans doute aussi la musique – l’envie de musique – ça serait une série de textes (il y en a déjà ici) avec ce rythme-là – cette intensité-là – ils sont là – proches.
En cherchant un billet dans la-grange.net je tombe sur celui-ci évoquant le processus d’écriture des pages des carnets et je constate donc que ce n’est pas si anormal d’écrire sur différents supports (...) -
journal permanent | 19 mars 2013
19 mars 2013, par sebmenardDans le matin je lis Karl Dubost avec café fumant — Karl Dubost parle de Tchekov et de L’Île de Sakhaline — j’ai déjà lu j’ai déjà vu du Tchekov — mais jamais vraiment entré dedans : Il est difficile d’aller à la bibliothèque sans vouloir y rester des heures à rêver entre les falaises.
Le reste du jour — boulot sans doute — au soir sais même plus quoi — sans doute que j’ai vu le jour oui — m’oublie fatigue et grince (...) -
journal permanent | 11 novembre 2013
11 novembre 2013, par sebmenardPas tenu le rythme pour les 36 poèmes : c’est pas un problème qui concerne l’idée du poème mais l’écriture du poème — pas grave ça avance.
Cette question de Karl Dubost : "Depuis cette phrase, une question occupe l’espace de mon temps libre. Quel est pour chacun de nous cet « espace serein » où l’on se sent libre de participer, d’être, de penser ?"
Parfois on lit un truc un texte un morceau de phrase et on se dit : C’est ça — c’est exactement ça — c’est ça.
Vu reportage qui met en boule — types qui (...) -
journal permanent | 2 octobre 2013
2 octobre 2013, par sebmenardLa possibilité d’une rêverie : c’est le matin par exemple savoir que le travail peut attendre — qu’on décidera du moment où — que ça sera beaucoup mieux comme ça — c’est l’odeur du café avec et la couleur du ciel — c’est sentir le corps vraiment prêt alors pour vivre et penser. Chaque jour ou presque : écrire — ce qui n’a aucun sens effectivement — mais c’est un vertige qui me suffit — tout de même ceci : s’organiser bien tranquillement pour avoir de moins en moins besoin des tunes (c’était magnifique quand elle (...)
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journal permanent | 2 janvier 2014
2 janvier 2014, par sebmenardLe jour du soba (la déléctation et le geste de faire) :
Cela ne nous aura pas empêché de les déguster avec la satisfaction d’avoir transformer la matière brute (farine, eau) en plat final. Il y a dans le geste de faire et de consommer ce que l’on a fait un acte de compréhension et de délectation.
Un Tweet passe et c’est Neil Jomunsi qui cite Ray Bradbury :
Il faut sans cesse se jeter du haut d’une falaise et se fabriquer des ailes durant la chute.
Ce qui correspond tout à fait à la (...) -
journal permanent | 3 octobre 2013
3 octobre 2013, par sebmenardUn équilibre en réalité c’est cela : ce serait par exemple (combien de fois l’ai-je dit) la moitié du temps dans la terre l’autre moitié avec les images et les mots — et certain que ça se mélangerait parfaitement. Une des doubles images de la série Contre chez Philippe De Jonckheere évoque le verrou imposé par la "Sécurité" de la "Très Grande Entreprise" sur le web — j’ai déjà pareil sentiment quand on me dit sur mon lieu de travail qu’il m’est impossible de connecter mon ordinateur personnel au réseau (on ne (...)
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journal permanent | 06 novembre 2012
6 novembre 2012, par sebmenardQuand il appelle je dis qu’il y a eu embuscade (c’est le nom de code) — la bête pleurait dans la nuit on savait pas quoi en faire — mais au matin le soleil derrière les vitres c’est notre chauffage (on tient avec ce qui reste) — j’ai envie d’écrire une histoire avec les histoires (celles qu’il raconte) d’un autre (combien de fois j’ai fais ce projet) (peut-être que cette fois-ci) (hier tard dans la nuit j’ai cru entendre la voix exacte) (c’était débridé) — je voulais dire quelque chose de très précis mais (...)