Ada (Serbie) — Szeged (Hongrie).
Beau temps. Presque chaud. Vent d’arrière (j’aime le dire en anglais tailwind) — mais très léger — 5 km/h peut-être — puis ça tourne à partir du milieu de journée.
Le gars à la frontière qui nous fait ouvrir deux sacoches. C’est drôle en fait.
Je ne l’ai pas noté l’autre jour et il faut écouter à nouveau ce que dit Daniel Bourrion ici — ce mot fractale c’est fascinant.
En arrivant je dis ça va être moins wild mais pourquoi faudrait-il toujours que ce soit wild — en fait on se (...)
Accueil > Mots-clés > diafragm > Bourrion Daniel
Bourrion Daniel
Articles
-
journal permanent | 22 avril 2016
22 avril 2016, par sebmenard -
journal permanent | 14 janvier 2016
14 janvier 2016, par sebmenardTout file si vite — et j’avance lentement dans la relecture d’Alors on avait voulu rouler vers l’Est — je relis je corrige des petites choses — besoin de tout relire à suivre sans faire autre chose entre temps afin de voir ce qui colle — ce qui tient — ce qui sort de cette voix.
Joachim met en ligne un truc vraiment très intéressant — et je ne sais pas ce qui me fascine dans cette façon de créer avec le code avec les mots — et donc les Nuits on ne pourra plus les lire que la nuit.
Je suis confus. (...) -
journal permanent | 14 septembre 2015
14 septembre 2015, par sebmenardBucarest — Brasov.
Train.
L’automobile rend l’homme stupide et criminel — nous prenons le train pour éviter la bêtise — « ainsi va la vie ».
Pensé ces derniers jours à plusieurs reprises un texte – eu en bouche des morceaux – ce serait un cri contre quoi (l’écrire ici dans le journal et se souvenir de l’avoir déjà évoqué) – mais comment le faire tenir.
Predeal : les ours de Predeal viennent-ils encore manger dans les poubelles des hôtels de la ville ?
Écrit quelques textes à propos de notre Studio Mobile (...) -
journal permanent | 1er septembre 2016
1er septembre 2016, par sebmenardTraité des poussières (ou bien le nommer « Cantique ») (comme il y a le « Cantique de la bienséance » — le « Cantique de la paranoïa » chez Daniel Bourrion) : finalement ça continue un peu plus long que prévu. Je voulais garder ça court. Dans le temps. Mais quelques pistes d’écritures notées à terminer. Suis passé à la publication en ligne : deux textes par jour. Un le matin — un le soir. C’est plus rapide. L’impression que d’autres pistes sont aussi là. Qu’on pourrait en prendre certains morceaux et dérouler. (...)
-
Journal permanent | 14 juin 2012
14 juin 2012, par sebmenardLa troisième face de la pyramide est terminée - dans la voiture la chaleur et la poussière mais surtout le vent tout ça d’un seul tenant nos corps. A 13h03 d’après les fichiers du cache quelque chose est venu déranger la partie spip du site - nombreux fichiers accumulés dans les différents dossiers du cache - incapable d’accéder au site pendant deux heures avant d’imaginer vider le cache via FTP (une fois de plus : incompétence totale dans ce domaine) - j’efface le contenu de trois ou quatre dossiers (...)
-
journal permanent | 09 novembre 2012
9 novembre 2012, par sebmenardMe rends compte que j’ai laissé s’échapper Vallée chez Daniel Bourrion et que c’est toujours bon de suivre ce genre de développements sur son site — loupé aussi le début des Boloss des Belles Lettres — découvre ça maintenant. Le temps du poisson. Construit une séquence de cours au moins (et j’ai réussi à y mettre du Perec du Tarkos et du Sei Shonagon dedans) — le tas de copies attend toujours. Dans cette plaine — c’est venu le temps des derniers ajustements — quelques petites choses que je n’avais pas (...)
-
journal permanent | 2 septembre 2013
2 septembre 2013, par sebmenardÀ la terrasse du café ce matin deux types disent que c’est les derniers moments de détente que c’est bientôt fini — que lire le journal après pas le temps et tout ça — y penser à nouveau. Je ne photographie pas quand je travaille — cela — prendre cela en compte — et faire changer la bonne variable. Je ne l’avais remarqué et pourtant : les fichiers dans lesquels j’écris le journal permanent sont mensuels et procèdent chacun de la même façon — un empilement — les plus anciennes notes se trouvant à la fin — (...)
-
Daniel Bourrion, 19 francs et une histoire (au moins)
25 avril 2012, par sebmenardDonc j’ai juste dit au libraire pas moustachu mais avec des lunettes rondes et une tellement bonne bouille : « J’ai vingt francs, vous avez un livre pour moi ? »
Dans mon iPod il y a une note après ce paragraphe - impossible de la comprendre aujourd’hui - « mettre les mots » - note tapée dans le train le vendredi 30 mars 2012 - incapable de comprendre exactement aujourd’hui pourquoi.
19 francs - c’est une histoire très simple (mais seulement en apparence) et très belle - y résonne dedans quelque (...) -
journal permanent | 20 décembre 2016
20 décembre 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
On coupe tous beaucoup beaucoup. Je sais pas si c’est bon. Chez Daniel Bourrion Saint-Avold évoque des peintures et des murs — d’autres temps (ici — je veux dire : pour moi — c’est le nom d’un péage vers les routes de l’Est — à l’époque où il s’agissait de payer l’asphalte qui mène aux routes de l’Est).
Un repas surprise (presque) (disparition de la brume) (apparition du soleil derrière la vitre) (des tartines au four) (j’écris si lentement si doucement) (fini La (...) -
Daniel Bourrion : la langue souffle, La Petite fille dans sa robe claire
26 mai 2012, par sebmenardLe mystère est entier et le restera - c’est tout l’enjeu du dispositif : à partir d’une photo s’embarquer dans une coulée de la langue et jusqu’au dernier mot.
C’est un court ensemble de textes (sept exactement) et on y voit l’auteur avancer - c’est un long souffle - et pas possible de lutter contre :
J’y arrive doucement, j’arrive doucement à ma surprise, celle qui est à la source de ça que je fais là sans y pouvoir grand-chose (...)
La langue Bourrion creuse et s’étale - non - s’étire ou bien procède (...)