une journée qui commence
par le constat
de l’absence du mot-clé Tardieu, Jean
dans le Diafragm
et qui répare cet oubli, ce manque, ce trou béant
(le vide ! le néant ! l’oubli ! la brume !)
ne peut être une journée
manquée
(qui plus est lorsque c’est
en recopiant un poème de Roger Lahu)
Et si tu écrivais les choses sur des rouleaux de papier de calage, de rembourrages ? Est-ce que ça changerait la « teneur » des choses (des poèmes ? des mots ? des calages ? des silences entre les lignes ?)
Parti tout à fait sur une autre piste : Journal des poussières (comme à chaque fois : l’impression d’avoir trouvé la bonne trace) (elle n’existe pas). Puisque c’est comme ça que les choses sont : nombreuses lignes, pages, piles, ouvertes, commencées (replonge-toi dans tes petites tentatives).