journal permanent | 10 novembre 2014

lundi 10 novembre 2014, par sebmenard

Les vrais besoins ont une limite naturelle : nourriture, vêtements, abris, soin. Le superflu, lui, n’a pas de limites. Il est la cause principale de l’hyper-consommation qui ruine notre planète et empêche que les besoins élémentaires de l’humanité soient équitablement satisfaits.

Pierre Rabhi, La part du colibri.


Partir sur la route : le lieu où l’on pense.

SPIP | squelette | | soutenir les auteurs | ISSN 2495-6910 | Suivre la vie du site RSS 2.0