Les vrais besoins ont une limite naturelle : nourriture, vêtements, abris, soin. Le superflu, lui, n’a pas de limites. Il est la cause principale de l’hyper-consommation qui ruine notre planète et empêche que les besoins élémentaires de l’humanité soient équitablement satisfaits.
Pierre Rabhi, La part du colibri.
Partir sur la route : le lieu où l’on pense.