puisqu’il t’en souvient clairement maintenant : un jour ou l’autre, ton cul sera le repas d’un autre — puisqu’il t’en souvient encore : en japonais mort et poésie se prononcent pareil, « l’un et l’autre nous sont inconnus » — ce que je lis dans L’ignare : celui qui ignore tout (des usages) du monde de Tanikawa Shuntarô — puisqu’il t’en souvient clairement puisqu’il t’en souvient grandement dans la brume des jours dont se (...)
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