et c’est sûr, c’est sûr, c’est sûr on recommence et rattaque et rate-rate et de mieux en mieux l’espérons, l’affonons, l’avonçons, l’enfonçons — nous enfonçons dans notre éloge de la cabane, éloge de la main, éloge de la pluie, éloge de la poussière, éloge de la vie sauvage — mais qu’est-ce que c’est LE SAUVAGE ? — et nous l’usons la vie, le corps, le langage nous l’usons jusqu’à quoi ? — une source et le souffle PREMIER oui mais n’oublie pas : le vocabulaire parlé est moins riche que les impressions de la main (...)
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