photographie : SebMénard, France, 2011, iPod Touch, ShakeIt.
qui file sous la pluie et amasse à coup de diaphragme les montagnes de culs de camions avec une bande originale à coup de soupapes.
Accueil > Mots-clés > diafragm > travail
travail
Articles
-
20/02/2011
20 février 2011, par sebmenard -
journal permanent | 31 octobre 2017
31 octobre 2017, par sebmenardLevé tôt. Assez tôt pour voir la nuit, puis la brume, puis le ciel. Là à gamberger lentement. Livres ouverts, fichiers ouverts, carnets ouverts. Casque. Puis tout à coup ça apparaît clairement. Il s’agit d’une demi-page. Puis une dizaine de lignes. Ensuite, il y a de l’épuisement.On peut faire repartir la machine, peut-être une fois, deux fois, trois fois dans la matinée, puis ne suis plus bon à rien. À nouveau gamberge quelques heures. Lecture beaucoup, et c’est dans ce temps que les petits ajustements (...)
-
Bureau mobile
28 novembre 2013, par sebmenardLe bureau mobile c’est celui de chaque jour celui du train — la tablette sur laquelle je pose ma machine — pourtant : faux de dire que mon bureau c’est la machine — elle fait parti des outils — comme la paire de lunette — les bouquins que je pose avec — le casque audio — la vitre à côté derrière laquelle défile donc le bocage le Layon et plus loin — la Loire.
Il faudrait pouvoir définir ce qui constitue le bureau — à partir de quelle moment je peux décider d’appeler un lieu mon bureau — j’ai mis quelques (...) -
journal permanent | 30 août 2016
30 août 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
J’ai noté : passé tête dans le guidon. Passé librairie. Affiche pour ce weekend. Des livres : il est question de poussières mais aussi de Bailly. Le soir — il y a des mûres dans le chemin d’à côté. -
journal permanent | 10 janvier 2014
10 janvier 2014, par sebmenardUne semaine d’un nouveau job — à peine assez pour faire un bilan et puis la tête bien usée — vidée — et ce qui tient en langue et muscles qu’on découvre au sortir d’une séquence de trois ou quatre heures.
Envoyé aujourd’hui un dossier pour une résidence de création.
| note |
les mots les chiffres
pour dire et pour compter
les humains qui viennent
qui traversent des mers prennent des routes
et ceux qui les comptent
La forme d’une ville glissé sans doute par réflex dans le sac — pour attendre dans le (...) -
journal permanent | 28 février 2014
28 février 2014, par sebmenardAvec le nouveau travail il y a tout de même un risque – c’est parler semoule comme ils disent rapidement – d’ailleurs fin de semaine on le sent vite – important de garder la poche de temps vide – de pratiquer la langue dans une autre dimension – et dans le même temps le travail insiste sur la syllabe sur le son très exactement.
Très impressionnant : je me souviens de cet endroit pour y dormir au pied des Carpates – versant Sud – et la route à côté s’appelle la Transfăgărăşăn – et donc on y a dormi on (...) -
journal permanent | 23 mai 2014
23 mai 2014, par sebmenardTravail : ça se répète depuis hier et ça devrait durer encore un peu.
Courir : 13 kilomètres dont un bon tiers sous la flotte – avec une sensation de plénitude et le cerveau en pleine activité – prévoir de changer les chaussures rapidement.
Photographier : je constate m’obstiner désormais à photographier à 50 iso dans le maximum de situations – quitte à trouver une image très sombre – l’impression qu’on est au plus près comme ça.
Lire : relire au plus près (Roger Lahu) – en même temps retrouver sans doute (...) -
journal permanent | 30 avril 2017
30 avril 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
très brouillon
dit quelque part (je le note, je voudrais y penser) : le luxe désormaisc’est d’avoir un travail(activité rémunérée)qui sertqui a sa propre utilitéau moins à nos yeux
Et voilà que surgit l’homme à la clé à molette ? (Dans notre Est lointain il y a celui à la clé de treize). -
journal permanent | 30 septembre 2016
30 septembre 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Des choses que je dois épingler là : ces deux articles de Neil Jomunsi Presque Saccage chez Joachim Frank Smith par Guenaël Boutouillet et le site
Envoyé un texte à travers l’Atlantique. Les monstres des chemins. Version complète. Envoyé un mail — métier ou travail ou quoi. Parfois je sais plus nommer les choses.
Trois jours non quatre non cinq non combien — ce texte ça veut pas je cherche sa voix au texte je sais pas comme on dit ça non plus.
Le soir : (...) -
journal permanent | 11 décembre 2017
11 décembre 2017, par sebmenardGrand vent. Qu’en est-il dans les cabanes, dans les yourtes ? Dans le contrat il est question de garder le silence. Garder le silence sur quoi ? Jusqu’où l’ouvre-t-on ? Pourquoi ? De quelle manière ? Que disent les mots ? Pourquoi continuer de les écrire ? J’ai les doigts froids — gourds. C’était l’autre jour, mais incapable de le retrouver. Un pain au chocolat à la boulangerie, combien ça coûte ? (question entendue dans le train) (car je prends le train). Je ne sais pas ce que je décharge (de quoi (...)
0 | ... | 200 | 210 | 220 | 230 | 240 | 250 | 260 | 270 | 280 | ... | 310