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Vagia — Agia Marina — Égine.
25 km.
Relecture des 14 tracks dès le matin — apporter les corrections ensuite au fichier sur l’ordinateur — peut-être qu’un enregistrement ça serait bien aussi — je veux dire un enregistrement sur la route on pourrait essayer ça.
Dans un café du port — des mises en ligne des mails — beaucoup de mail — refait l’abonnement à publie.net — lu deux (2) articles d’importance — le vent quelques gouttes de pluie — ici on dit que ce sont les (...)
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Notre désir de tendresse est infini
Articles
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journal permanent | 15 mars 2016
15 mars 2016, par sebmenard -
Alors on irait chercher la bête en nous
23 décembre 2014, par sebmenardAlors — on organiserait des fêtes
et elles porteraient des noms
imprononçables.
On allumerait des feux de camp — des braseros des torches et des lampes-tempêtes.
On switcherait des amplificateurs — des fours à bois — des lampes à huile — des transformateurs.
On allumerait nos bouches nos corps et nos souffles — on allumerait tout dans la poussière et la sueur.
Ce serait le temps d’une nuit — mais on verrait sa fin de nos yeux — déterminés. On transformerait un champ en dancing décadent — on (...) -
journal permanent | 19 avril 2017
19 avril 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Aujourd’hui, parution de Notre Est lointain et Notre désir de tendresse est infini.
Quitter les villes serait peut-être un récit fragmenté, et qui démarre avec des géolocalisations (par exemple des noms des latitudes longitudes) + des chants (cette voix, apparue dans Notre Est lointain).
des petits objets fabriqués à la main de l’autre côté de l’Atlantiquedes couteaux pliants
de la bière artisanale
du painces choses-là
(auxquelles ajouterpar (...) -
journal permanent | 27 avril 2018
27 avril 2018, par sebmenardQuand il s’agira de rouvrir ce Matériaux et espaces vides pour un récit il pourrait s’agir de l’idée d’une carte, carte best-of anthologie le meilleur de le meilleur de quoi (« tu dis vraiment n’importe quoi ») — dans une version numérique, certe, ainsi qu’une version papier, limitée (forcément !) — un genre de poster, une affiche, une carte (je pense au format IGN…) dans laquelle (sur laquelle) on retrouverait quelques textes — un best-of « comme on dit » — et donc ils se chevaucheraient, ce serait complet (...)
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A fourteen track extended play | sommaire général
11 janvier 2016, par sebmenard« A fourteen track extended play » est un texte pour la scène et la voix haute (et au titre provisoire). Performance en trio avec Antoine Leroy et AnCé t. à découvrir à cette adresse. Quelques improvisations à écouter à cette adresse. Ce travail est en cours de réécriture : reprise été 2016 et enregistrement à l’automne.
1- Ouverture
2- Alors on irait chercher la bête en nous
3- Qui cherche un ours
4- Alors on avait voulu parcourir les routes de l’Europe
5- À un moment précis
6- Notre besoin de (...) -
journal permanent | 23 septembre 2016
23 septembre 2016, par sebmenardTerminé la reprise de notre Est lointain. Tout coule de mieux en mieux. J’ai supprimé. Des mots. Un passage entier. Delete. Ça tenait pas ce truc. C’est sûr. Tout est plus doux dans ce récit. Car c’est un récit. On s’éloigne pas mal de la version de travail en ligne — qui a une autre autonomie. Ça se mélange avec les 14 tracks — c’est normal. Comme le traité des poussières se mélange avec les monstres des chemins. Tout se mélange toujours. Les 14 tracks se mélangent aussi avec des voix parlent encore dans le (...)
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Qui cherche un ours
1er octobre 2014, par sebmenardCe serait une nuit.
Une nuit blanche et fraiche.
On entendrait la voix d’un homme — la voix d’un homme qui cherche un ours — et qui répète son nom dans le noir.
Au village les corps dansent — au village les feux sont allumés qui éclairent les murs des cabanes et des baraques — les flammes sont jaunes et on entend des marmites des verres — des assiettes — des violons et des trompettes. On entend des types qui disent leur poème dans une odeur de bois et de feu — dans une odeur de nourriture — de (...) -
journal permanent | 11 décembre 2015
11 décembre 2015, par sebmenardUne très intéressante lecture (à propos des 14 tracks) :
Le recueil de Sébastien Ménard est étrange : je ne sais quoi en penser. Il, s'agit d'une poésie abstraite. Les bêtes sauvages telles que les ours ou les loups y reviennent souvent. Je pense qu'ils sont une métaphore de la part sauvage, féroce de l'homme. La figure de "L'homme qui marche seul dans la nuit" y revient souvent également, tout comme la nuit elle-même. La nuit est l'ignorance des hommes, l'homme (...) -
journal permanent | 14 mars 2017
14 mars 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
C’est très simple : à midi, il fait déjà beaucoup trop chaud, pailler, le mot pailler, puis le vélo, passer le fleuve, passer la colline, l’antenne, redescendre l’autre vallée, arriver près de la vieille rivière, on dirait une vieille rivière et là finalement : en deux fois, grosse grosse concentration, une sélection de notre désir (…), voix haute + oud, beaucoup d’autres choses, et à nouveau, penser au paillage.
(ensuiterentrer dans le noirpédaler dans le (...) -
journal permanent | 5 novembre 2016
5 novembre 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Dans une bibliothèque : La Main verte (Hervé Bourhis). Ça résonne — quelques dizaines de minutes après avoir terminé la lecture — cette idée d’abeilles et de mots.
(malgré toutes les urgenceset les gravitésnous gardons la tendresse)
Un journal-poème.
En ligne.
(et j’ai aussi la piste d’un fichier HTML simple où mettre le texte de Prague). Le ciel du soir rouge rouge (pourquoi ne suis-je pas monté sur la colline ?). Mis à jour tous les 14 tracks que j’appelle « (...)