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journal permanent | 1er septembre 2020

mardi 1er septembre 2020, par sebmenard

D’une manière ou d’une autre, d’une façon même, il y a quelque chose qui se mélange, et ce n'est pas très clair (l’éclaircir ?), et c’est fait d’un tas d’histoires entendues, qui passent, nous modifient, nous transforment, dont « on ne fait rien mais qui nous font quelque chose » (Cosnay et Potte-Bonneville) et encore d’un sentiment d’épopée (quelque chose qui va au bout de l’expérience, « à en mourir » disent Cosnay et Potte Bonneville) , donc ça déjà, et l’idée d’un récit bloqué, quelque chose bloqué, peut-être même autre chose que le récit, et qui se mélange à un tas de forces extérieures à l’humain (voir Descola) — attends j’ajoute encore que nous avons tous le même rêve étrange (je fais souvent…), un petit abri, un potager, un verger, de l’amour et tout ça dans des lieux vivants, des lieux d’écoutes, où être écouté/àl’écoute, comme devant témoins (les arbres, les animaux, les rivières…).


qui te montrent
vidéos
fusillades
cadavres et villages
dévastés
dévastés


qui cherchent
une façon
d’épopée
traversent
quelque chose
plus grand encore
que la frontière