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journal permanent | 24 novembre 2017

vendredi 24 novembre 2017, par sebmenard

Pour cette lecture dans l’ardeur, ardamment par exemple textes de bêtes comme j’en ai quelques uns, notes prises pour l’ours et autres tentatives récentes pourquoi pas faire parler la bête, la forêt, n’imp.


Ai partagé sur notre plateforme d’échange le texte de l’ours, de la quête. Étrange travail à plusieurs voix et yeux. Exaltant. Dispositifs qu’on aimerait pouvoir renouveller, adapter à diverses situations.


Au soir écoutant Julien Bosc lire Jabès, puis lire son texte, puis parler, éclairer certaines pistes :

 « Je n’ai pas d’imagination. Mes poèmes n’ont pas d’imagination. »


Une lecture, de la première section de Soleil gasoil par exemple, se doit de commencer par hommage-lige ou poème-lige quelque chose comme ça (qui dirait donc les voix présentes y dedans — voix qui nous font tenir). L’occasion sans doute de projeter un grand collage des routes et des lointains. Quant au boucleur…