« Ne plus se perdre dans la parole et lire, réellement lire le web là où la vague prend forme et non là où l’écume gicle. Et plutôt que de communiquer (c’est-à-dire promouvoir) réinvestir l’espace du site qui est devenu, avec le temps, mais dévoré par les miasmes, les glitchs, les mauvaises herbes. 608 mots électriques derrière. »
Retrouver le temps.
Et puis l’idée de la cabane. Vivre comme ça. Trouver juste un peu de pognon pour atteindre ce lieu. Ça va marcher. (Quand je dis « ça va marcher » je pense à A. — puisque tout marche toujours dans ses histoires — questions questions questions — et les yeux brillent sauvages).