Grand beau. Peut-être tôt dans l’année pour ça.
sur « le coteau »
comme on dit
pour le tour du jardin
et de la caravane
des pois, des pois chiches, des moutardes, des menthes
coriandre
pommes de terre
dans un tas d’herbe
laissée là
il est quasiment impossible de glisser les mains
(trop chaud, brûlant)
ces choses-là
(dans un sac : une récolte de sureau, de fleurs de sureau)
(nous les errants, il nous faut trouver les lieux de nos vendanges, de nos cueillettes, de nos glanages)
Un tour d’arrosoir et le livre un souffle sauvage attend là.
et puis j’écrirai le poème à la main