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journal permanent | 17 juillet 2016

dimanche 17 juillet 2016, par sebmenard

Chez Thomas Vinau :

On écrit mal avec ses idées. On écrit mieux avec des odeurs. Il faut écrire comme la bête que nous sommes, en mettant la cervelle au service de la truffe.


Course à pied.

Il y a eu le mot psalmodier mais ce n’est pas ça. Encore que. Déclamatoire peut-être. Ne pas attendre plus longtemps en fait. Velo cargo machine — la vélo machine — ça c’était d’autres pistes. Aller doucement. Dans un premier temps des tests : quelques textes. Ensuite voir pour des images. Dans des boites ou pas. « Littérature » douce et sauvage ça le fait pas vraiment. Surtout pour littérature. Je voulais un truc avec doux et sauvage. Il y a beaucoup d’autres considérations plutôt techniques et administratives. Ça compte aussi.

Très chaud. Couru moins vite. Jambes lourdes en fait.