Travail voix haute / trompette / oud avec A. :
- penser à noter en vrac les choses dites et gardées en tête après-coup (c’est quelque chose qu’on se dit — que ça devrait faire partie de notre boulot)
- pour créer quelque chose — s’entendre / s’écouter / se comprendre : jouer beaucoup — essayer des trucs (aujourd’hui — beaucoup de parlage — de préparation — dès la prochaine fois — dire dire dire chacun avec son instrument) (c’est quoi le mien ?)
- ceci : jouer de l’instrument est sans doute plus improvisé que dire le texte (là dans notre cas) (pour la voix : se remettre en bouche les mots — en faire un ensemble comme partition — déchiffrage d’un œil mais réelle dicture) (c’est pas mon mot mais je le comprends) (peut-être)
- l’idée c’est de partir sur deux mois de boulot — à la fin de l’été on a un truc qui roule — un truc qui tient — un truc où on se comprend (et donc la possibilité de rencontrer — de partager)
- microphone : l’année passée — c’était bosser à voix nue — et au oud essentiellement — puis sur la fin des microphones — et donc en jouer aussi (mais donc : une machine pour les faire tourner)
- il y a eu le mot funk mais c’était plutôt pour que ça reste cool — et pourtant dès les premières notes sur le oud envie de langue aussi (pourtant : si différent)
- perso : refaire des exercices de voix sur l’ensemble des textes
- aussi : s’autoriser la possibilité de dire seulement quelques mots d’un texte — garder un morceau qui tient — aussi fort seul que dans le flot (mais la version textuelle — elle — tient plus de mots)
- images : il y a cette idée de pads
Ensuite c’était aussi du riz des fèves et de l’artichaud — c’était aussi du poisson venu en petite voiture de la mer — le tout passé au four et des discussions comme ça.