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quitter les villes | silhouettes

lundi 20 juin 2016, par sebmenard

fichier de travail — prises de notes — en évolution et mises à jour irrégulières

c’est surtout que ça termine d’une certaine manière — quelque part — je veux dire le trajet ça se termine (par exemple dans un champ — dans une cabane — dans une rivière — sur une plage — sur un chemin)

aussi peut-être que ça construise des personnages en parlant — qu’ils causent en fait — qu’ils soient forts

tendres

vegans

n’oublie pas les merdes industrielles cancérigènes

hiérachie (que ça cause de tout ça)

(prendre en note en route d’autres pistes)

le 1er mai déjà je le disais il faut des corps :

 il faut des corps là — il faut que quelqu’un quitte les villes — ça veut dire quelques unes et uns — plusieurs — ça veut dire un peu de documentation mon vieux — du vrai boulot

le 8 mai :

 presque des personnages tu vois — c’est ça le plus fou — donc P. et A. à Bucarest par exemple — J. et A. à Cracovie par exemple — I. à Athènes ça c’est pas mal aussi — j’ai ces pistes — accumuler des notes.

22 juin :

en fait ce sont les personnages qui parlent — qui racontent leur truc (imaginer un dispositif : « le dit de I. » / « le dit de … » (je repense au dit de Tom dans Sardinia — c’est très différent mais je sais d’où vient ce « dit ») — c’est ce décalage qui amène la langue / le récit (la fiction ?)