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(qui) épuisent les hôtels

mercredi 6 avril 2011, par sebmenard

photographie : SebMénard, Maroc, Fès, 2006, Ilford HP5, scan de négatif.

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(qui) épuisent les hôtels les baignoires rouillées ne savent plus vraiment où sont leurs corps et sueurs — derrière les barreaux en fer ils n’entendent rien sous les étoiles parfois des voix elles disent — y’a qu’une mer à traverser ici — y’a rien ici c’est pas pour nous — les volets restent ouverts derrière les barreaux tous ils marchent.