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journal permanent | 14 décembre 2013

samedi 14 décembre 2013, par sebmenard

François Bon évoque la présence (l’absence) de gens dans les photos qu’il met en ligne – dans le journal photo en particulier (tiens d’ailleurs se refaire pendant le temps de vacances ballade images en remontant le temps) (j’aime assez aller sur de très vieilles mises en ligne) :

  • difficulté de faire une image de qualité
  • avoir le droit de faire une image
  • photographier des visages
  • photographier une pièce vide ou une rue vide c’est à la fois un portrait et un auto-portrait
  • “Ce qui m’a poussé à la photo (…) c’était bien le souvenir nu et exposé, sensible (…)”

On note car ça fait écho à la pratique – je photographie des visages – des gens – j’en publie peu ou pas – AnCé t. le fait parfois – le geste semble différent entre ces deux actions : faire une image d’une personne connue – faire une image d’une personne inconnue – dans le second cas – pour ma part – je ferai beaucoup plus facilement l’image d’une silhouette – d’un mouvement – un déplacement – mais non pas un visage – d’ailleurs pour ce qui est d’écrire ça sera très similaire – j’écris peu ou pas le visage — ça sera un mouvement – des mots des choses dites – une forme – il faudrait se souvenir de ça pour un récit.


Chez Philippe De Jonckheere La Vie en ce moment c’est par série d’images qui se collent les unes sur les autres – sorte de scroll presque infini – et c’est magnifique et puissant d’une réalité troublante – écrire un jour comme ça : une nuée d’images.