journal permanent | 10 octobre 2013

Hier en quelques Tweets j’ai eu l’idée de cet #autumnleavestrainblues — alors j’ai repensé à ces textes qui dorment dans la machine et peut-être aussi sur un vieux blog — les reprendre et les mettre ici.

Le questionnement avec le projet vélo c’est aussi qu’invariablement il faudra trouver quelques tunes quelque part à un moment.

Hier j’ai écrit dans le journal permanent "Écrire l’histoire d’un trompettiste qui voudrait jouer si vite." — et sur le moment je voyais très bien ce récit — je le sentais très exactement et donc — j’aurais du l’écrire tout à fait et entièrement à ce moment-là — mais c’était le boulot et pas pu — donc je ne l’ai pas écrit — désormais sans doute que cette histoire est quelque part à l’intérieur — dans l’ombre ou bien ailleurs — mais peu pas la sortir — s’appliquer à trouver un métier qui permettrait cela.

Si on contactait des gens pour aller photographier les migrants d’autres pour aller photographier l’atelier vélo — pour aller photographier un agriculteur bio — etc.