journal permanent | 11 juillet 2013

Une image en dit-elle plus que le journal permanent (c’est à propos de ceci : mettre en ligne une image de mon propre bureau) — c’est revenir aux questions d’opacité et au journal — période qui questionne très largement — se concentrer dans écrire — écrire.

La dernière consigne de l’atelier Un été pour écrire m’a fait penser à l’Arthur Maçon de Joachim Séné — sans doute que c’est l’évocation d’un personnage en quelque sorte atemporel — est-ce que c’est vraiment le cas d’Arthur Maçon — et puis ce n’était pas vraiment la consigne non plus — mais tout de même en repensant à ce que j’écrivais dans le journal permanent — étirer chaque consigne jusqu’à épuisement — ici sûr le site peut-être.

Guillaume Vissac écrit dans son journal qu’il relit son texte Mueller en écoutant des voix bulgares — je me dis qu’un type qui fait ce genre de choses c’est déjà un poème — quant à Mueller — je préféré le laisser de côté pour plus tard quand j’ai compris — cru comprendre — que Guillaume Vissac en ferait une compile — je n’ai pas d’explications rationnelles à cela — lire tout ensemble — peut-être (mais ce n’est pas vrai : parfois : une ligne — une série de mots — un fragment entier).