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journal permanent | 15 mars 2013

vendredi 15 mars 2013, par sebmenard

Je tape des morceaux du journal permanent dans l’ipod et l’application modifie complète ou supprime certains mots — si je commets des erreurs elle peut même les rectifier — certains mots je ne les ai pas tapés pourtant sont là — penser à cela.


Je ne sais pas qui est Daniele Momont mais je la remercie

et je vais raconter l’histoire du verbe affoner — avec un seul n le plus souvent — d’ailleurs — c’était plus au Nord — et je pense qu’il y avait de la bière et d’autres choses encore — ça devait être une nuit ou bien si c’était un jour c’était sombre dans nos têtes je veux dire c’était comme si c’était la nuit — et donc l’un a dit on affone nos verres (j’avais écrit dans un premier temps "on affone nos vers") et puis on y va — voilà — c’était l’histoire du verbe affoner — et ça suffit pour que ce mot dise l’essentiel souvent comme il sonne assez pour ça.


C’est sans doute le journal de Guillaume Vissac et surtout le mot Pessoa qui me fait penser à ça mais donc — Pessoa je pense que j’étais en L2 quelque chose comme ça — j’étais pas venu à lui par hasard — aiguillé — mais c’était ça — avec 600 euros à l’époque on vivait on avait tout et même le temps de lire — maintenant quoi — c’est pas la question — encore que — mais de Pessoa je me souviens très bien la grande la très grande claque Bureau de tabac.