finalement ça pourrait s’appeler « horticole » et ce seraitune performance (même pas peur)avec roll chargé déplacé plein de plantes plantules À OFFRIR
puis il s’agit de dire plié (repiquage) poussant tirant ?
et des petitsbouts de travailmatière dans les doigtsun pusliquide éclaté doigtsgonflés la nuitpulsent au rythmede la pompeà vie s’abime-t-elle ?
relire Metz, lire Ponthus
et pas de savonpour s’en laverles mains
planterun fraisier en dehorsdes barquettesentre les serresplanter comme (...)
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journal permanent | 16 février 2024
16 février, par sebmenard -
journal permanent | 14 février 2024
14 février, par sebmenardje préférerais ne pasécrire ce poème
car à force de machinela nuit je continue à effeuillerla vie la nuit j’efffleure d’autres pensées j’effloreà grandes brassées d’ombresje deflore sans même le vouloirça continue
sans dire bonjour ni quoi seules façon de paroledes ordres et même pas ton nom
au soirune infusion de tête poussièreà l’amer et tiède comme une suée passéeje te le distenir
Je vois facilement un petit mot explicatif. Pourtant ce paratexte serait de trop. Aller vers le simple.
car à parler comme on (...) -
journal permanent | 12 février 2024
12 février, par sebmenardMartin Rueff, Au bout de la langue.
dans la brouhahade gestes et d’usuresles corps cassentlentement têtela première sabotetout le reste hop -
journal permanent | 7 février 2024
7 février, par sebmenardce qui me réjouit c’estquand ça ratej’écrisà la volée alors que lamachinepousse les tomatesjeunes plantulesplus loin
mais n’est-ce pasluxe heinla poésieest cette chose surgiedes ratages et des manquesdes vides et des silencesdu grand rien fairele néant d’accordse réjouir des petites chutes ordinairescar ellespoussent à côté et alorsles sentiers s’ouvrent -
journal permanent | 3 février 2024
3 février, par sebmenarddans ce grosde noir silencechercherencore plusde silence
une immobilité
ou alors c’est qu’un renardrevient plusieurs foissur ses pas l’avide viandeet bête urineet plumes -
journal permanent | 30 janvier 2024
30 janvier, par sebmenardune sidération
car quand ta bêtes’éteinttu es uneboule de larmeset moi-mêmeje ne peux me contenirnos pleursà l’un à l’autrej’aimerais tantfaire bien
pendant les longuesjournées avaléesséchesd’un travail commeça tenirà tout les coupsje tremble et voir après
Audre Lorde :
« « Parce que nous vivons au sein de structures façonnées par le profit, le pouvoir vertical, la déshumanisation institutionnalisée, nos émotions n’étaient pas censées survivre. (…) Mais les femmes ont survécu. En poètes. » (...) -
journal permanent | 29 janvier 2024
29 janvier, par sebmenardla poésie jaillitdu noirles yeux fermésdans son noirune égarée
une esquintée
les mots le noirle silence la langueimmobile tout çaesquinte quelque chosemais quoi ? -
journal permanent | 26 janvier 2024
26 janvier, par sebmenardtrouver un feuintérieur
savoir observer voirle feu intérieur de l’autre
lui préparer de petits fagots des réserves de boiscombustible
garder le silencese donner pourconsignede garder le silence, quelques temps ? -
journal permanent | 25 janvier 2024
25 janvier, par sebmenardla pleine lune du jeudi 25 janvierest au cœur de l’hiver à 18h58passée
« Mot d'enfant : Je lui dis si tu devais te définir en dehors de ton prénom et nom, que dirais-tu ? Qu'est-ce qui est toi ? Et comme d'habitude avec les enfants, la réponse m'a pris totalement à contrepied…
« C'est difficile parce que je n'ai pas encore de travail. »
Je ne sais pas encore très bien comment absorber cela. :) Je me pose de sérieuses questions sur l'image que nous renvoyons à notre (...) -
journal permanent | 24 janvier 2024
24 janvier, par sebmenardune façon chutele corps têtemou
flotteun brouhaha de silence
un tube grottecouloir paroi sombrenuit matin jamais venu tenirle mot tenir
du gros mélange toutle jour conduitaux fatigues longuessans nom les chosesusent et plein le dos
puis dans le grosdéluge de languebagarre à tabacsans quoi direune brasse de chienpour tenir têtehors d’eau
un tapis roulanttu cours lehamster (...)
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