Qui s’achoppent accostent les ports d’Afrique et comme dingues à l’approches tremblants qu’ils seront là - vraiment là - ils notent mes fantômes ce qu’on voit dans le grand ciel au dessus du port de Tanger et rangent incapables les mondes qu’ils parcourent dans leurs livres.

Qui errent sonnés dans la vieille ville et se gavent poissons dans la crasse des rues et mettent au point sur les corps allongés et marchent - marchent n’y comprennent quoi les gamins courent dans les ruelles les vieillards immobiles les drogués les paumés.